Rentrés par la frontière de Poipet, nous avons passé la nuit à Aranya Prathet. Rien de très intéressant ici. Le lendemain, nous repartions pour Bangkok, toujours aussi étouffante et difficile à traverser. Nous avons passé des heures dans les embouteillages, retrouvé ensuite des amis polonais VW et fait nos bagages chez Saroch avant de lui dire au revoir pour de bon cette fois. La dernière journée, nous avons découvert le quartier ultra touristique de Khao San, avec le plaisir de voir que les prix restent corrects ici contrairement aux zones destinées aux étrangers au Cambodge par exemple. Par contre, l'agence à laquelle je me suis adressée pour réserver un trajet pour Prechuap Khiri Khan s'est mis 50% en poche juste pour nous faire perdre du temps: nous attendons le bus à 12h, sommes baladés d'une rue à l'autre, puis finalement transportés en taxi jusqu'à la gare de bus assez proche, puis prenons le minibus local pas hyper confortable et qui vaut 250 baht au lieu de 500, départ à 14h30, alors qu'Elios a déjà fini de dormir!
Bref, nous avons atteint la petite ville de Prechuap, pas de touristes ici mais des paysages magnifiques avec presqu'iles arrondies, montagnes qui sortent de l'eau, un temple au sommet d'une colline entourée de singes bien nourris. Un Canadien dans notre bus nous a dirigé vers une chouette guest house pas chère et juste en face de la mer. Le seul hic est que la mer n'a pas été aussi bonne avec nous: renversé par des vagues trop grosses, piqué par les méduses, j'ai bien cru qu'Elios perdrait tout le bénéfice de son séjour avec Raymond et recommencerait à craindre l'eau.
Mais non: l'étape suivante à Songkhla, tout au Sud de la Thaïlande, a bien prouvé qu'il aimait encore nager comme un poisson. En plus de ça, l'aire de jeux sur la plage était des plus belles, tout ce qu'il nous fallait pour cette dernière étape thaïlandaise. Cette fois, c'est moi qui ai dégusté par contre: un oeil infecté qui me faisait terriblement souffrir.
A notre hotel, la patronne a bien fait stresser Filip en demandant une caution exorbitante: du coup, il voulait même passer la serpillère lui-même!
Le passage de frontière avec nos tout derniers baht a été plutôt laborieux: plusieurs petits bus locaux, pas chers, mais lents, nous ont conduits jusqu'à Padang Besar, mais là, nous nous sommes retrouvés à la gare de bus après un trajet en taxi sans plus aucun moyen d'atteindre notre destination.
Bref, nous avons atteint la petite ville de Prechuap, pas de touristes ici mais des paysages magnifiques avec presqu'iles arrondies, montagnes qui sortent de l'eau, un temple au sommet d'une colline entourée de singes bien nourris. Un Canadien dans notre bus nous a dirigé vers une chouette guest house pas chère et juste en face de la mer. Le seul hic est que la mer n'a pas été aussi bonne avec nous: renversé par des vagues trop grosses, piqué par les méduses, j'ai bien cru qu'Elios perdrait tout le bénéfice de son séjour avec Raymond et recommencerait à craindre l'eau.
Mais non: l'étape suivante à Songkhla, tout au Sud de la Thaïlande, a bien prouvé qu'il aimait encore nager comme un poisson. En plus de ça, l'aire de jeux sur la plage était des plus belles, tout ce qu'il nous fallait pour cette dernière étape thaïlandaise. Cette fois, c'est moi qui ai dégusté par contre: un oeil infecté qui me faisait terriblement souffrir.
A notre hotel, la patronne a bien fait stresser Filip en demandant une caution exorbitante: du coup, il voulait même passer la serpillère lui-même!
Le passage de frontière avec nos tout derniers baht a été plutôt laborieux: plusieurs petits bus locaux, pas chers, mais lents, nous ont conduits jusqu'à Padang Besar, mais là, nous nous sommes retrouvés à la gare de bus après un trajet en taxi sans plus aucun moyen d'atteindre notre destination.
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